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Gestion Hana Iti et Eden Parc

Quelle répartition des rôles entre les 2 terrains de Hana Iti et de Eden Parc ? Quelle conservation pour quels enjeux ? Quelles expérimentations pour apprendre quoi ? Voir descriptif détaillé

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3 septembre 2009 14:13, par Thomas EGLI

Quel rôle pour quel terrain ?

Le terrain de Hana Iti fait 32 hectares, il est constitué de 2 crêtes, d’un vallon central et des 2 coteaux extérieur + d’un prolongement en bas de ces coteaux (plage, terrain boisé, cocoteraie...). Il est composé de plantes locales et de plantes invasives. S’y est tenu par le passé le jardin entretenu d’un hôtel.

Le terrain de Eden Parc, situé à 15 ou 30 minutes de pirogue en face selon si on y va en pagayant franco ou très tranquillement, fait 3 hectares, est orienté plein sud (donc à l’abri du soleil) et est bourré d’arbres fruitiers de toutes origines, mais essentiellement du Pacifique Sud, Amérique du Sud et Afrique.

Je me dis qu’il pourrait être logique que nous entretenions et exploitions l’Eden Parc afin d’en faire une réserve de ces essences fruitières à ne jamais voir disparaître, et que nous jardinions Hana Iti pour que ces 32 hectares reprenne une forme locale, qui serait alors représentative de ce qu’était l’île avant que les invasions ne démarrent. Ainsi, c’est sur Hana Iti que nous produirions alors tous les tubercules de Polynésie Française, tandis que ce serait sur Eden Parc que nous aurions l’écrasante majorité de la production fruitière. Bien que Hana Iti, avec de l’entretien et une surveillance pour éviter les chapardages, pourrait tout à fait produire une immense quantité de fruits locaux. D’ailleurs, si Hana Iti produit vraiment beaucoup, alors nous remplacerions les chapardages à la sauvette par des dons organisés par nous avec des « journées cueillettes » organisées officiellement et connues de tous.

J’attends vos avis avec intérêt.

Thomas

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3 septembre 2009 14:13, par Thomas EGLI

Quel rôle pour quel terrain ?

Le terrain de Hana Iti fait 32 hectares, il est constitué de 2 crêtes, d’un vallon central et des 2 coteaux extérieur + d’un prolongement en bas de ces coteaux (plage, terrain boisé, cocoteraie...). Il est composé de plantes locales et de plantes invasives. S’y est tenu par le passé le jardin entretenu d’un hôtel.

Le terrain de Eden Parc, situé à 15 ou 30 minutes de pirogue en face selon si on y va en pagayant franco ou très tranquillement, fait 3 hectares, est orienté plein sud (donc à l’abri du soleil) et est bourré d’arbres fruitiers de toutes origines, mais essentiellement du Pacifique Sud, Amérique du Sud et Afrique.

Je me dis qu’il pourrait être logique que nous entretenions et exploitions l’Eden Parc afin d’en faire une réserve de ces essences fruitières à ne jamais voir disparaître, et que nous jardinions Hana Iti pour que ces 32 hectares reprenne une forme locale, qui serait alors représentative de ce qu’était l’île avant que les invasions ne démarrent. Ainsi, c’est sur Hana Iti que nous produirions alors tous les tubercules de Polynésie Française, tandis que ce serait sur Eden Parc que nous aurions l’écrasante majorité de la production fruitière. Bien que Hana Iti, avec de l’entretien et une surveillance pour éviter les chapardages, pourrait tout à fait produire une immense quantité de fruits locaux. D’ailleurs, si Hana Iti produit vraiment beaucoup, alors nous remplacerions les chapardages à la sauvette par des dons organisés par nous avec des « journées cueillettes » organisées officiellement et connues de tous.

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